Catégories : Libertins Pantyhose collants bas petite culotte corset
il y a 8 ans
Quand j'ai décroché ce nouveau boulot de responsable des ventes, j'ai vite compris qu'il fallait aussi s'adapter à de nouveaux horaires de travail. Fini le train-train de rentrer chez soi à 17h. Ce n'était pas à un point où je risquais de me faire bouffer les loisirs par le boulot, mais toutes mes fins d'après-midi que j'utilisais pour bricoler chez moi, ranger, nettoyer, faire des courses, traîner, toutes ces fins d'après-midi disparaissaient. Il fallait s'organiser autrement.
J'ai pris contact avec une association dont le rôle était de mettre en rapport de futurs employeurs avec des employés potentiels pour des tâches ménagères, de l'assistance à domicile, etc. Une femme de ménage un après-midi par semaine ? Oui, c'était possible. Quand ça ? Au plus vite. Qui ça ? Une certaine Nadia N. Est-ce ça m'allait ? Ben oui, pourquoi ça ne m'irait pas ? Rendez-vous pour le mardi suivant, vers 19H, pour régler les détails ? Ok, affaire conclue.
En entendant la sonnette le mardi en question, j'ouvre la porte sans aucune idée de à quoi ressemble ladite Nadia : le dossier ne m'étant pas encore parvenu, je n'ai pas vu de photo d'elle. Derrière la porte, la surprise est plutôt agréable : une charmante beurette m'attend, un sourire aux lèvres. Âgée de 25-30 ans, un visage clair et lumineux, des traits fins, et des yeux verts en amande qui pétillent. Une impressionnante chevelure brune, qui cascade plus bas que ces épaules. Une peau doucement cuivrée. Et, je le remarque pratiquement au premier coup d'œil, une impressionnante poitrine.
-
Vous êtes Mademoiselle N ?
-
Et toi, tu es André !
Alors que j'avance la main pour serrer la sienne, elle s'avance pour me claquer la bise. Bon, on va pas se plaindre, c'est plus sympa, elle a des joues douces et toniques, et il va falloir que je me mette à l'unisson de sa décontraction.
On fait le tour de l'appartement, pour lui présenter les tâches ménagères à réaliser, lui montrer où sont rangées les choses, bref lui présenter le boulot. Elle, toujours aussi décontractée, on a presque l'impression qu'elle est déjà un peu chez elle. Moi un peu décontenancé. En partie par son postérieur d'ailleurs. Elle a un cul assez sympa, bien moulé dans son jean, de proportions amples, mais pas trop. Et toujours cette opulente poitrine. Je ne peux m'empêcher de lutiner l'une et l'autre en me déplaçant dans l'appartement avec elle. Pas très discrètement sans doute : un petit sourire et un regard en coin de la miss me fait comprendre qu'elle a capté mes incessants coups d'œil.
-
OK pour commencer début septembre ?
-
Pourquoi pas dès lundi prochain ?
-
Oui, pourquoi pas ?
La voilà repartie les clefs en poche : elle est engagée, sur la foi des très bonnes recommandations de ladite association, et de l'excellente impression qu'elle m'a faite. Je regrette seulement que ses horaires de travail soient peu compatibles avec les miens : j'aurais été ravi d'être à la maison quand Nadia viendra y travailler, on ne rencontre pas tous les jours une si jolie brune, mais vraiment ça ne colle pas. Je propose juste à Nadia de passer le premier lundi soir, à la fin de son temps de travail, pour voir comment elle s'en sort et faire le point.
Le lundi, avant même de rentrer dans l'appartement, je sais que Nadia doit y être : la radio, qu'elle a dû mettre à fond pendant qu'elle passait l'aspirateur, s'entend de l'autre côté de la porte. Pas la peine de sonner pour la prévenir de mon arrivée, elle n'entendra rien. J'entre donc sans prévenir, elle ne m'entend pas rentrer, et le spectacle qui m'attend me laisse bouche bée.
De l'entrée, je peux voir Nadia dans le salon, en train de faire le repassage. Rien d'original à cela sauf qu'elle le fait en sous-vêtements... Un magnifique ensemble, composé d'un shorty fuschia en soie, et du soutien-gorge assorti. Et pour moi, une vue imprenable sur ses magnifiques fesses, et sa poitrine plus que remarquable, un 95C au moins. J'en reste tout bête à la regarder, impressionné, ébloui. Il y a plusieurs secondes avant qu'elle ne remarque ma présence. Elle sursaute alors, pousse une sorte de cri, et se jette sur ses vêtements qui traînent à côté d'elle, sur le canapé.
-
Excuse-moi, bredouille-t-elle, je suis désolée....
-
Bonjour, Nadia !
-
Bonjour, André. Je suis désolée, répète-t-elle en se rhabillant à toute vitesse. Elle semble troublée, elle a toutes les peines du monde à se rhabiller calmement.
Elle finit par s'expliquer :
- Il y a une telle canicule ce mois d'août, j'étais déjà en sueur après l'aspirateur, j'ai préféré me mettre à l'aise pour repasser, avec la chaleur du fer c'est insupportable, tu comprends ?
Bien sur, je comprends. Et je ne vais pas me plaindre. Au contraire. Je suis arrivé trop tôt, sans prévenir, j'ai dû la surprendre, mais cette image de Nadia dans son ensemble fuschia va rester pour longtemps gravé dans ma mémoire.
Elle part peu après, mais ma décision est immédiatement prise : je passerai la semaine suivante revoir la surprenante Nadia. Toute la semaine je guette la météo : pourvu que la canicule ne faiblisse pas ! Qui sait si avec une telle chaleur...
Le lundi suivant, la canicule est toujours là, et je ne suis pas déçu en ouvrant la porte de l'appartement. La belle est là, de nouveau en sous-vêtements, pas surprise cette fois, plutôt souriante en me regardant pénétrer dans la pièce. Adorable dans un ensemble en dentelles noires, craquante à la folie, avec ses superbes formes si bien mises en valeur.
- Attends, je me rhabille, me glisse-t-elle, j'ai presque fini le repassage.
Je me dépêche de la convaincre de n'en rien faire, et de terminer en cette tenue. Je m'assois donc pour la regarder terminer le repassage, et je suis comme au spectacle. En s'agitant ses seins se trémoussent sous la dentelle, c'est très animé dans son soutif. J'ai une envie d'aller calmer ces 2 animaux rebelles qui s'agitent... Sans parler de ses fesses qui elles aussi bougent pendant que son bras s'active sur la planche à repasser : un vrai spectacle ! Le plus sexy des spectacles !
Malheureusement, je vois le tas de linge à repasser fondre à vue d'œil. Elle a bientôt fini, range le linge dans mon armoire, et se rhabille. J'en ai pris plein les yeux, mais le spectacle aurait pu durer des heures que je ne m'en serais pas lassé. Une érection tenace m'a accompagné tout le long de ma contemplation des formes de Nadia. Peu après elle rassemble ses affaires, et m'annonce qu'ayant fini son travail, elle va partir. J'ai beau essayer de la convaincre de rester à prendre un verre, ou de se voir un autre soir en ville, impossible : ce soir elle est pressée, et elle a une semaine très chargée. Pourquoi pas une autre fois ?
Autant dire que la semaine suivante est longue. Je ne cesse de penser à elle, de rêver à elle, de fantasmer sur elle. Je rêve de la revoir au plus vite, bien sûr, mais aussi d'en savoir plus sur elle. Est-elle cette ingénue encore qu'elle prétend être ? Ou alors me mène-t-elle en bateau, en jouant à échauffer mes sens ? Mais dans ce cas-là, pourquoi ? Elle semble par ailleurs se dérober. Je suis en tout cas fou de sa lingerie, fou d'elle dans sa lingerie, et peut-être tout simplement en train de devenir fou d'elle tout court.
Autre chose me trouble cette semaine-là. C'est vrai, je suis un grand admirateur de lingerie féminine. Mais je suis aussi un très gros amateur de lingerie masculine. J'ai une quantité de sous-vêtements inouïe : slip, boxer, strings... J'en achète pas mal, souvent assez cher, j'ai plusieurs catalogues spécialisés ; j'achète souvent dans des magasins pour les gays, car c'est vraiment là qu'on trouve les plus belles pièces. Mais cette semaine-là, je suis troublé : deux de mes sous-vêtements ont disparu : un de mes boxers préférés, tout en résille, et un assez beau string, tout noir éclatant, assez doux au toucher. Deux très belles pièces donc. La demoiselle visiblement adore soigner sa lingerie. Aurait-elle une même passion pour la lingerie masculine ? A-t-elle fait main basse sur une partie de ma collection ? Tout cela est bien curieux.
Le lundi suivant j'essaye de quitter le plus tôt possible le bureau, mais malheureusement je ne peux pas partir aussi tôt que prévu. En arrivant chez moi, j'essaye de rentrer le plus discrètement possible dans l'appartement pour la surprendre. Mais la surprise est pour moi. Et la déception aussi : Nadia a perdu sa bonne habitude de vaquer à son travail en tenue légère, elle est en train de laver les carreaux dans une tenue nettement moins sexy : pantalon de toile blanche légère, et T-shirt. J'essaye d'engager la conversation du ton le plus neutre possible :
-
Alors, pas de repassage, aujourd'hui ?
-
Mais si, j'ai fait ça en arrivant. Pourquoi ?
-
Pour rien...
-
Ça ne va pas ?
-
Si, si, ça va....
Elle doit pourtant deviner pourquoi je suis déçu et bougon... Je poursuis :
-
Dis-moi Nadia, depuis que tu mets le nez dans mon armoire à linge, je n'y retrouve plus mes petits
-
Ah bon ? Quel est le problème ?
-
Je crois qu'il me manque des fringues. Tu vois ce que je veux dire ?
-
Euh... en fait, non, je ne vois pas. Tout y est, tout est rangé comme c'était avant que tu viennes.
-
Laisse tomber, on en reparlera.
Les dernières minutes où elle est là ne me permettent pas de me calmer. Je remarque qu'elle a en fait un string très foncé sous son pantalon, qui est particulièrement visible. Beaucoup de femmes adorent que l'on voit leur string en transparence sous leur pantalon : elles savent que c'est un grand plaisir pour les yeux des hommes.... Mais là, à ce point, c'est presque de la provocation. Une provocation tout spécialement à mon égard ? Peut-être. Mais je suis trop énervé pour en profiter.
La semaine suivante est une succession d'interrogation pour moi. La question de base étant : à quoi joue-t-elle ? Cherche-t-elle à m'allumer ? Et alors, pourquoi me faire le coup de la douche écossaise ? Que veut-elle ? Que veut-elle de moi ? Quand arrive le lundi, je suis décidé à agir. Plus question de me laisser mener en bateau par la belle. Si elle cherche à m'allumer, il faudra qu'elle éteigne le feu. Sinon, il faudra bien mettre les choses au point. Par ailleurs, je vérifie mon armoire à linge : le boxer et le string sont de nouveau là. Je n'ai pourtant pas rêvé...
J'arrive à l'appartement le lundi soir avec un sac à la main. Je suis passé en vitesse acheter un petit quelque chose dans une boutique qui devrait plaire à Nadia. J'entre dans l'appart : cette fois de nouveau Nadia est normalement habillée, avec un chemisier blanc en coton porté très près du corps, et un pantalon bleu marine. Elle remarque tout de suite le sac que je tiens à la main :
-
Waouh ! Tu as fait des courses chez O. ?
-
Tu connais ?
-
Oui, c'est une super boutique pour la lingerie. J'adore ! J'y vais de temps en temps pour regarder. Essayer aussi parfois. Mais je n'achète pas. Trop cher ! C'est pour ta copine ? Tu la gâtes !
-
Je n'ai pas de copine. Et c'est pour toi, peut-être.
-
Pour moi ? Super ! Mais pourquoi peut-être seulement ?
-
Je te le donne si tu acceptes de jouer le jeu de la vérité avec moi. Je te poserai trois questions, si tu acceptes de répondre franchement aux trois questions, ce qui est dans le sac est pour toi.
Nadia réfléchit. Ce qui est dans le sac lui fait a priori très envie, mais elle a peur de perdre le contrôle de ce jeu.
- D'accord, me dit-elle. Mais moi aussi j'aurai le droit de poser trois questions.
Je m'assois sur le canapé, elle s'assoit à côté de moi. Nous sommes proches, mais nous ne touchons pas. Je suis étrangement détendu. Je lui pose ma première question :
- C'est toi qui as emporté chez toi mon string et mon boxer résille ?
Elle pose elle aussi sa question avant de répondre à la mienne.
- Tu le portes sur toi aujourd'hui, ce fameux boxer résille ?
Je suis surpris par sa question, mais je réponds immédiatement, très tranquillement. Elle me répond aussi du tac au tac.
-
Oui.
-
Oui.
Nous attaquons immédiatement le deuxième jeu de questions :
-
Il y a deux semaines, ce n'était pas à cause de la canicule que je t'ai trouvée en sous-vêtements ?
-
C'était une surprise agréable ?
Je réponds, rapidement, elle aussi
-
Oui, très agréable, et bien plus que ça.
-
Non, bien sûr que ce n'était pas à cause de la canicule.
Je poursuis immédiatement :
-
Tu aimes que les hommes te regardent en sous-vêtements ?
-
Tu t'es senti pris à mon piège ?
-
Oui, un peu pris au piège, il y a de ça, suis-je obligé de reconnaître.
-
Oui, j'adore qu'on me regarde, me répond-elle.
Je sors du sac O. un paquet-cadeau, que je lui remets en lui faisant la bise, et en lui confirmant qu'elle l'a bien mérité. Elle me demande si elle peut l'ouvrir tout de suite, je lui confirme que oui, elle est toute émoustillée, ravie, et elle l'ouvre devant moi.
Je lui ai choisi un petit ensemble dans des tons bleu et vert pastel, décorés de fleurs et de feuilles. Dans un tissu synthétique, mais super agréable au toucher, presque de la soie. Et surtout l'arrière du slip est très transparent ! Nadia est ravie. Elle pose la culotte et le soutien-gorge contre elle pour en voir l'effet, et finit par me demander :
-
Je peux essayer tout de suite ?
-
Bien sûr !
Evidemment, je n'attends que ça. Elle va dans la salle de bains et s'enferme. Je suis super impatient, j'ai l'impression qu'elle y passe des heures. Elle finit par en ressortir... complètement rhabillée ! Elle se rassoit à côté de moi. Elle doit voir ma mine déconfite, car elle éclate de rire. Elle finit par me dire :
-
Il est super. Mignon comme tout, très doux à porter. Et parfaitement à ma taille : tu dois avoir mes mensurations en tête ! Ça m'a tellement plus, je l'ai gardé sur moi. Encore une fois, merci pour le cadeau, ça me va très bien. Mais toi, ça n'a pas l'air d'aller.
-
Si, si, ça va. Enfin non, ça ne va pas.
-
Qu'est-ce qui ne va pas ?
-
Mais enfin Nadia, tu t'en doutes : en t'offrant un tel ensemble, je pensais que tu l'essaierais immédiatement, mais je pensais évidemment que tu accepterais de me montrer ce que ça donne sur toi.
-
Ah ouiiii, s'exclame-t-elle. Pas de problème, je vais faire ça pour toi, André. Mais avant, il faut accepter de jouer à mon jeu de la vérité. Il n'y aura qu'une question, mais toi aussi tu pourras en poser une.
Je ne vois pas de raison de refuser. Jusque là ce jeu de la vérité m'a plutôt bien réussi.
-
D'accord.
-
Tu t'es branlé en pensant à moi ces derniers temps, me demande-t-elle ?
-
Et toi, tu t'es caressée en pensant à moi ?
-
Oui bien sûr, lui réponds-je. Plusieurs fois. C'était très intense. L'image de toi en culotte et soutif était très forte dans mon cerveau. Pas besoin de photo de toi pour que ça soit un grand moment.
-
Moi aussi je me suis caressée en pensant à toi. Je frottais ton boxer ou ton string contre mon sexe, et j'atteignais vite l'orgasme.
Elle me regarde droit dans les yeux. Elle doit être émue, excitée, ses joues ont rougi. Elle me dit :
- Eh bien, je crois que tu as gagné le droit d'ouvrir mon chemisier et de regarder...
Nadia s'est mise bien droite sur le canapé, presque cambrée, les bras le long du buste. Son chemisier ferme par des pressions, faciles et rapides à ouvrir, mais je prends tout mon temps. J'écarte les deux pans du chemisier pour mieux voir. Je vois la poitrine de Nadia se soulever, elle respire vite et fort. C'est magique à voir, cette poitrine gonflée qui se soulève, si imposante, si joliment enrobée. Nadia finit d'enlever son chemisier, elle est buste dressé à côté de moi, tous deux assis sur le canapé. Je me rapproche d'elle, et lui chuchote à l'oreille :
- Ils sont magnifiques. J'adore voir ça. Je peux toucher aussi ?
Nadia me répond d'une voix douce que oui, elle n'attend que ça. Elle rajoute :
- Mes seins, c'est mon point sensible...
Le soutien-gorge de Nadia est parfait à caresser. La matière idéale au contact, la main glisse dessus, et c'est si bien rempli, la forme harmonieuse, la texture doucement élastique. Nos lèvres se rejoignent, et nous échangeons un baiser à tomber par terre ; sa langue est incroyablement active contre la mienne. Elle me chuchote à l'oreille qu'elle est hyper excitée, mais ça n'est pas un secret pour moi, je sens que les pointes de seins sont gonflées et durcies. De mon côté, mon sexe est aussi très gonflé, à l'étroit dans le pantalon.
Mes mains passent derrière son dos pour détacher l'agrafe. Pas pour retirer ce merveilleux soutien-gorge, non, juste pour dégager un passage pour mes doigts entre le tissu et les tétons. La caresse est plus précise, et encore plus agréable pour moi à donner, avec l'excitation d'avoir un contact à la fois avec le téton et le tissu. Je joue avec ses pointes, je les cajole, les serre doucement, les excite ; Nadia soupire, respire fort. Elle finit par me dire :
-
Tu ne voulais pas voir la culotte ?
-
Si, bien sûr...
Nadia se lève, elle enlève son soutien- gorge, dégage ses sandales, et laisse tomber son pantalon par terre. Elle me regarde très fière, debout devant moi :
-
Elle te plaît, cette culotte ? Moi, je l'aime bien.
-
Forcément, je l'aime. Surtout qu'il y a tes fesses dedans.
-
Elles te plaisent, mes fesses ?
-
Viens là que je les voie de plus près avant de te répondre.
Elle se rapproche de moi qui suis assis sur le canapé, elle debout, ses fesses à portée de mes mains. Quel cul ! Cette culotte quasi transparente était une idée de génie, et ce tissu, on dirait qu'il est fait pour qu'une main soit en permanence à caresser cette croupe. Elle a l'air d'aimer ces mains sur elle, mais elle se dégage pour me dire, un sourire aux lèvres :
- Moi aussi, j'aimerais te voir juste avec ton boxer.
Elle se penche sur moi pour m'enlever mon polo. J'en profite pour flatter du bout de la langue un sein qui passe par là. Puis elle se met à genoux devant moi, m'enlève mes chaussures et chaussettes, bientôt s'attaque à ma ceinture et entreprend de déboutonner mon pantalon. Je lui fais remarquer :
-
C'est un rêve pour moi ! Te voir assise devant moi, vêtue d'une seule culotte, à me déshabiller...
-
Pour moi aussi, c'est un rêve, me répond-elle. J'ai fantasmé sur toi, je me suis caressée avec ton boxer. Mais te voir là avec juste ce superbe boxer, avec cette bosse bien attirante au milieu, c'est vraiment autre chose.
Elle entreprend de me caresser l'entrejambe, ses mains vont et viennent doucement sur la résille, j'ai l'impression que mon sexe continue à grandir, et que mon excitation monte encore.
Je fais se relever Nadia, et l'asseoir à côté de moi. Je remarque au passage une petite tâche d'humidité sur sa culotte. Je prends en main un de ses seins, et je le porte à ma bouche. Ma langue est super active pour lécher le téton, mes mains tiennent fermement le sein, j'aspire ce petit bout dur, je le tète. Nadia ne tarde pas à gémir, mais elle n'oublie pas mon plaisir. Sa main s'est infiltrée dans mon boxer et me donne mille caresses. Son bas-ventre ondule, et je sais ce qu'elle veut. Ma main vient se poser contre sa culotte, pressée contre son sexe. Elle fait frotter son sexe contre ma main à travers le tissu, et elle se donne du plaisir ainsi, ses gémissements se font plus continus.
Pourtant, elle finit par retirer ma main ; mais c'est pour la diriger vers l'élastique de la culotte. J'en profite pour sortir mon sexe, et le lui mettre en main. Elle entreprend immédiatement des mouvements réguliers sur ma tige, qui me font un effet fou. Ma main rentre dans sa culotte, je découvre qu'elle est presque entièrement épilée, et évidemment complètement trempée. Elle me dit :
- C'est une des meilleures choses que peut me faire un homme, glisser sa main dans ma culotte en me donnant du plaisir par mes seins.
Ma main dans un premier temps reste contre son sexe humide, plaquée, pendant qu'elle se frotte en ondulant. Puis un de mes doigts pénètre en elle, puis un deuxième, pendant que ma paume reste plaquée contre son mont de vénus. Le va-et-vient de mes doigts, le frottement qu'elle entretient contre ma main, et l'action de ma bouche et ma langue sur ses seins créent rapidement leur effet : Nadia crie, son orgasme est énorme, elle se raidit, et sa jouissance dure de longues secondes, mes doigts en elle sentent la contraction de son vagin sous le plaisir.
Elle finit par tomber contre moi, semblant épuisée, totalement relâchée, les seins pressés contre mon buste. Elle reste comme ça un moment, immobile, mais sa main n'a pas lâché mon sexe dans la jouissance. Elle me gratifie d'un baiser mémorable, comme on n'en échange qu'après avoir joui, puis quitte le canapé, en me disant :
- À ton tour.
Elle s'agenouille devant moi, et entreprend de caresser mon sexe, en prenant dans l'autre main mes boules à travers le boxer. Puis rapidement, elle prend en bouche mon sexe, d'abord juste le bout, puis elle fait de grands mouvements, lents et appliqués pour avaler ma tige. Mon Dieu, ce moment est magique, j'adore la voir, son visage si fin, ces cheveux fous, qui s'applique à me donner du plaisir. Elle arrête de me sucer un instant pour me dire :
- Préviens-moi quand tu seras tout prêt du plaisir.
Ça ne tarde pas à venir en effet, je lui dis, et elle se relève face à moi à ce moment, me branle énergiquement et vient placer sa culotte tout contre son sexe. Je comprends ce qu'elle veut, et ça achève de m'exciter : j'explose contre son sexe, mon sperme jaillit contre sa culotte en de longs jets, elle m'encourage à lui en mettre encore plus, elle semble ravie que cette culotte, l'étrange objet de mon désir, soit trempée de mon sperme.
Les minutes qui suivent sont des moments de repos, de tendresse, l'un contre l'autre. Les mains ne sont pas inactives, et déjà les siennes recommencent à me titiller à travers mon boxer. Je lui pose une question :
-
Quand as-tu eu l'idée de m'exciter comme ça avec ton repassage en tenue légère ? Dès le premier jour où nous nous sommes vus ?
-
Non, en fait l'idée m'est venue la première fois où je suis venue travailler. J'ai compris en voyant traîner un catalogue de lingerie féminine et ta super collection de strings que tu étais comme moi un amateur fou de lingerie.
-
Tu as bien fait...
Entre-temps mon sexe a gonflé à nouveau, et elle me chuchote à l'oreille :
- N'espère pas t'en tirer à si bon compte.
Elle me regarde droit dans les yeux, et me dit :
- Bizarre quand même, que pour une amatrice de lingerie, un des meilleurs moments soit celui de retirer sa culotte...
Elle soulève légèrement ses fesses, mes mains se posent sur ses hanches, et je fais descendre doucement le tissu mythique le long de son bassin puis de ses fesses. Elle me dit :
- Le meilleur reste à venir...
Je porte à mon nez sa culotte, imprégnée de son odeur intime et de mon sperme. Je crois bien qu'elle a raison.
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